Wallace Weston ⇒ Michael B.Jordan [Under Construction]

Né au mauvais endroit.
Je m'appelle Wallace Weston et je suis né à Los Angeles. On dit souvent qu'on ne choisit pas sa famille ni d'où on vient, je peux vous l’affirmer, cela est totalement vrai. J'ai eu la bonne chance de naître à Compton qui n'est pas forcément un endroit où on aimerait vivre. Mon père était un pauvre membre de gang des Crips, un gang très influent dans cette région. De mes souvenirs ce n’était pas forcément un mauvais bougre, juste le genre de personne qui n'avait pas eu la chance et l'envie de sortir de ce trou à rat qu'est Compton pour céder aux sirènes des gangs. Ma mère quant à elle était une femme un peu perdue, elle avait un bon fond et souhaitait son sortir, mais dans ces quartiers, si vous avez la chance de pas faire partie d'un gang, vous avez de fortes chances de tomber dans des addictions à la drogue ou à l'alcool. Pour elle, se fut la weed, mais j'y reviendrais plus tard dessus. 
Mais je ne suis pas fils unique, en effet j'ai un grand frère Joseph de 10 mon aîné et une petite sœur, Ellie, qui est née lorsque j'avais 3 ans.  
 
La dure réalité.
Mon frère nous abandonné quand j'avais 6 ans, il avait 16 ans et si à l'époque je lui on ai beaucoup voulu, sa décision nous a sauvé la vie. En effet mon frère a toujours été ambitieux, pour lui c'était hors de question de pourrir à Compton et devenir un pauvre dealer qui agresse des jeunes et des personnes sans défenses avec ses autres potes de gang. Il a alors fui de la maison à l’âge de 16 ans. Avec le peu d'argent qu'il avait grâce aux petits boulots qui faisait, il a décidé de tenter sa chance à San Francisco. Pendant ce temps, je vivais alors une vi de misère dans notre pauvre petite maison délabré. Je n’avais pas la vie de rêve mais ca me convenait. J'étais encore jeune alors la routine livrer des journaux, allé à l'école puis trainer avec d'autres enfants avant la nuit et dans ds endroits ou ont ne risqué pas de se prendre une balle. Néanmoins plus je grandissais et plus ce rythme était difficile. L'état de ma mère était de plus en plus déplorable, si elle arrivait à l'époque a enchaîner les petits boulots pour qu'on ai de quoi vivre à peu près correctement, sa consommation de drogue ne cessait d'augmenter et sa santé physique et mentale diminuer. Ce qui sonna le coup de glas pour elle fut quand le corps de mon père fut retrouvé aux bords des rives du Compton Creek. Un règlement de compte entre membre des Crips et des Bloods, un autre gang très important dans les alentours de L.A. Malheureusement pour mon père, lui et ses collègues furent pris en embuscade par les rivaux qui avec l'effet de surprise, n'ont laissé aucun survivant. 


Une autre route.
Ma mère plus capable d'assurer, je devais alors à 12 ans, trouver et faire rentrer de l'argent pour qu'avec ma sœur âgé  de 9 ans, puissions subvenir à nos besoins. Dans ce cas d'urgence, j'allais de moins en moins à l'école et essayer de faire divers boulot pour récolter un peu d'argent. N'étant qu'un enfant, il m'était difficile de trouver un vrai boulot, l'inévitable se produit donc, un des jeunes avec qui je traînais me proposa de le rejoindre. Il avait intégré un gang qui voyait de bon œil la venue d'enfant pour pouvoir surveiller voir transporter de la drogue. C'était une décision pas facile à prendre car je ne voulais pas tomber dans ses vices la, j'ai vu comment cela pouvait détruire des gens. Mais d'un côté, faire cela était un moyen facile de faire de l'argent et j'étais dans l'urgence d'en trouver. Alors que j'allais mettre une main dans l'engrenage, j'eu la visite surprise de mon grand frère un soir d'été. 
A San Francisco, il avait d'abord trouvé plusieurs petits boulots avant de rencontrer une personne qui lui a permis de faire des études. Lors de sa visite, il était alors en train de faire des études de droits dans la prestigieuse University of San Francisco of Law. Choqué et se sentant coupable de notre situation, il décida de nous ramener avec notre sœur chez lui à San Francisco, persuader qu'il arrivera à s'occuper de nous et surtout qu'on ait une éducation qu’il n'a pas pu avoir. Ça ne sera pas notre mère qui faisait ses crises habituelles sur le canapé qui s'opposera à notre départ. Il était temps donc d'une nouvelle vie !
 
Le début d'une nouvelle vie
Bien que mon frère ai fut tout son possible pour qu'avec ma sœur nous puissions manquer de rien et pouvoir vivre une vie normale, je lui ai plutôt donné du fil à retorde. En effet bien que j'ai toujours été un enfant calme qui a toujours su se canaliser quand j'étais dans les rues de Compton,j'eu du mal à avoir un comportement respectable. J'ai donc eu un parcours scolaire chaotique, j'avais déjà du retard comparé aux autres de mon age du au fait que j'avais du laisser de coter l'école pour aider ma mère et je n'ai rien fait pour le rattraper. De plus, j'avais un mauvais comportement, n'hésitant pas à être violent et me bagarrer avec  d'autres personnes dès que je le pouvais. Comme on dit, le passé vous rattrape toujours et je fis vite connaissance avec des gens peu fréquentables. A cause d'eux je recommencés à délaisser les cours pour des activités un peu moins légales. Heureusement pour moi, mon frère sera encore la pour me sortir de cette mauvaise phase. En effet, voyant que je commençais à tremper dans des affaires louches, il me menacera d'abord puis me fera comprendre que mon avenir se traduit par ce que j'apprends en cours et non ce que je fais dans la rue. 

Une envie de justice.
Un jour alors que je rentrais de mon lycée, je m’arrêtais dans une épicerie pour prendre à manger pour ma sœur et moi car mon frère qui était devenu récemment assistant du procureur était  en déplacement dans la région pour son travail. Alors que j'étais en train de faire les courses, un homme rentra dans le magasin et sorti un pistolet pour braquer la caisse.  Par chance, ou comme dans un film bien cliché, il ne me vit pas car j'étais caché de son champ de vision. Il avait l'air nerveux et à out de nerf, c'était surement un camé qui cherchait de l'argent pour sa dose quotidienne. Etant obnubilé par le butin que contenait la caisse du vendeur, il n'avait meme pas prit la peine de vérifier si il était seul dans cette vieille épicerie. J'ai alors surement la décision la plus stupide de ma vie.